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Environnements favorisés par cette action
Vidéo YoutubePour rendre le choix sain facile à faire

En bref

Favorisant la pratique libre, les lieux de plein air de proximité nécessitent de moins grands investissements en termes de gestion et d’organisation. Leur nature extérieure permet une utilisation sur quatre saisons et nécessite moins de frais d’entretien que les infrastructures sportives puisque ces sites rassembleurs favorisent la création de réseaux de bénévoles qui se portent volontaires afin de participer à l’entretien des espaces.

Le but

Offrir des activités sociales et communautaires, culturelles et sportives variées et adaptées aux intérêts des citoyens et à leur portefeuille.

Pourquoi agir?

  • 76 % de la population estiment important que les municipalités en fassent plus pour favoriser le bien-être et le développement des 0 à 5 ans (Léger - Observatoire des tout-petits, 2018). Les parents demandent plus de parcs, d’activités sportives ou d’événements pour les jeunes. (Léger - Observatoire des tout-petits, 2017)

  • Une offre municipale en activité physique accrue et adaptée aux besoins des citoyens augmente leur participation, ce qui est associée à une hausse du capital humain et de la cohésion sociale, à une sécurité publique améliorée et à des bénéfices environnementaux (Direction de santé publique de la Montérégie, 2014).

  • Une grande variété de services communautaires et d’infrastructures de loisir accessibles et de qualité permettent d’attirer de nouvelles familles et les incitent à s’enraciner (RQVVS 2014).

  • Une programmation d'événements et d'activités de loisir qui tient compte des besoins des familles, des jeunes et des clientèles vulnérables encourage une plus grande participation des parents à la vie communautaire et renforce la capacité d’agir des citoyens. C’est notamment le cas des jardins collectifs. (Association québécoise du loisir municipal [année inconnue] et Fondations communautaires du Canada, 2016)
  • Le loisir est un levier de développement communautaire permettant aux familles avec enfants de rester et de développer un sentiment d'appartenance au milieu.
  • L’offre d’activités sociales et d’espaces extérieurs ainsi que leur accessibilité permet aux aînés de participer à la vie sociale et récréative de la communauté (Gouvernement du Québec, 2013).
  • Les investissements en sport (argent et temps-bénévolat) rapporteraient près du double en retombées économiques et sociales (santé, bien-être, cohésion sociale, etc.) (SHU-SIRC, 2016).
  • La fréquentation de lieux ou d’événements culturels contribue autant à la vitalité des centres-villes qu’au dynamisme économique et commercial du milieu (Fondation Rues principales, 2010).

Pistes d’actions concrètes

Réduire les frais d'accès aux activités de plein air de proximité, tout en augmentant les espaces naturels et sites de pratique près des milieux de vie, favorisant ainsi la pratique libre et accessible pour tous.

Valoriser les infrastructures sportives en favorisant l’utilisation hivernale pour du plein air sur quatre saisons : sentiers de marche pour la raquette, pistes cyclables pour le ski de fond ou le fatbike, terrain de balle pour des circuits d’initiation au ski de fond (classique et pas de patins).

En se référant aux guides d’aménagements et aux Fédérations, construire les sites de plein air selon les règles de l’art, afin qu’ils durent très longtemps et engendrent peu de frais d’entretien.

Favoriser les activités physiques réalisées en nature qui agissent plus intensément sur la santé et favorisent la réduction du stress, afin d’agir sur la santé de la population à plus faible coût comparativement aux autres infrastructures sportives.

Prévoir des coûts d'entretien.

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