
Pour ce faire, Laval participe, entre autres, à l’initiative The Environmental Insights Explorer (EIE), de Google, afin de mesurer les sources d’émission et d’effectuer des analyses dans le but de les réduire. On peut d’ailleurs consulter l’inventaire 2018 des émissions de GES. Un tel portrait, toujours décalé de deux ans, permet de mieux évaluer l’impact des mesures de réduction mise en place.
À ce chapitre, on peut citer le projet de déminéralisation et de verdissement des terrains privés et institutionnels lancé par la Ville en 2020 dans le cadre de sa stratégie d’adaptation aux changements climatiques. D’ici la fin de l’année, c’est plus de 34 000 arbres et 16 000 arbustes qui auront été plantés sur le territoire, en plus d’avoir retiré quelque 3 000 m2 d’asphalte, soit l’équivalent de 212 cases de stationnement. À cela s’ajoute le projet de verdissement de quatre bretelles autoroutières avec la mise en terre de 23 000 plantules et 16 000 arbustes dans le but, notamment, de limiter la formation de smog. Autant d’initiatives qui s’inscrivent dans la vision stratégique Laval 2035 : urbaine de nature, en vertu de ses engagements pris envers la Convention mondiale des maires pour le climat et l’énergie et qui en font de la Ville un chef de file en matière de développement durable au Québec.
Source : Ville de Laval